COMMENT LES DIASPOS INVENTENT LE RACISME FRANÇAIS

1) Un de mes amis burkinabè est à Paris, et me raconte ceci : « Non, pas de racisme, au contraire, les Français sont plutôt gentils avec nous, bien plus près à nous aider en tout cas que nos frères noirs ».

2) J'avais une amie Burkinabè également à Paris, mariée à un médecin, ce qu'elle ne voulait absolument pas ébruiter auprès des frères restés au pays. Voulant absolument me convaincre du racisme anti noirs, elle me raconte :

3) sa belle-mère est raciste. Là, c'est trop facile, toutes les belle-mères françaises sont racistes anti-bru, que la bru soit d'une nationalité ou l'autre, d'une couleur ou l'autre.

4) Les gars français la harcèlent dans la rue. Les gars français en question harcèlent les filles dans la rue, quelle que soit leur couleur. En plus, mon amie est jeune, jolie, bien roulée. Le jour où on me dira que les français harcèlent une fille moche et grosse et noire, là, j'étudierai la plainte.

5) La discrimination à l'emploi et au logement : elle touche toute personne non recommandée. Un blanc mal habillé sera retoqué plus vite qu'un étranger bien sapé. Elle touche aussi les femmes, mal considérées parce qu'elles peuvent... avoir des enfants. Les critères des employeurs et des logeurs sont glauques, point barre

6) la ghettoïsation : elle est le fait des communautés elles-mêmes qui aiment se regrouper autour d'un premier arrivé.

7) Certains journalistes et écrivains français se complaisent dans l'auto-flagellation, ce qui les fait bien voir des communautés concernées, leur donne bonne conscience et flagelle les autres français en passant, confortant la victimite des noirs.

Un fait de racisme est avéré quand il ne touche que les personnes qui s'en plaignent. Quand il s'exerce aussi sur d'autres, de la communauté supposée raciste, ce n'est pas gentil, mais ce n'est pas du racisme.

Et puis, vous comprendrez que quand on a réussi à se faire une place enviable en France, il ne faut pas le faire savoir aux frères restés au pays, qui seraient vite jaloux et pire demanderaient plus d'envois au pays. Se plaindre de vivre le martyre est économiquement profitable.

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COMMENT LA RECHERCHE IDENTITAIRE DES NOIRS DÉCLENCHE UNE RECHERCHE IDENTITAIRE SYMÉTRIQUE :

Stigmatiser une communauté pour des crimes qu'elle n'a pas commis sur des personnes qui ne les ont pas subis flatte apparemment la fierté de la communauté noire.
En contre-partie, ceux qui n'ont jamais colonisé, jamais esclavagisé, à qui on impose de se sentir honteux de ce qu'ils n'ont pas fait recherchent à leur tour à redorer leur fierté, et leur besoin d'identité sans tâche. Ils se tournent donc vers le FN, contre l'étranger qui le conspue.

Complices : 
-les diaspos ci-dessus, 
- les bien-pensants français qui, en toute méconnaissance, jouent la mélodie de la repentance,
- les futurs présidents français, il est avéré qu'une bonne repentance avant des présidentielles favorise l'élection. Macron n'y a pas manqué et ça a encore marché.
- les gouvernants africains et autres satrapes qui détournent ainsi l'attention de leurs populations de leurs propres malversations et mépris.

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LA RACISME FRANÇAIS N'EXISTE PAS ?

Bien sûr que si. Mais plutôt chez les gens qui sont peu en contact avec des noirs.
Le racisme est universel, il répond à la peur de l'autre, l'étrange, le différent.

Quand on se connaît, on sait qu'on est pareils. Des circonstances locales génèrent certains traits prédominants, mais c'est également valable pour tous.

Ce serait bien de mettre la pédale douce sur tout ce qui fait peur aux autres.