L'Afrique semble souffrir d'un fléau apparenté à la mouche tsé-tsé.
Une sorte de croisement des neurones qui amène ses ressortissants à
- s'isoler des autres tout en prétendant tous les autres racistes
- détester ce qu'ils envient (La France, le reste du monde, désigné « Occident »)
- conspuer un mode de vie dont ils veulent toujours plus
- se récrier qu'on les sous-estime... et se croire incapables
- brandir le poing et ne rien faire
- être pressés (sap-sap) et trouver que « les autres » vont trop vite.
- rejeter l'action et idolatrer les activistes... une fois qu'ils sont morts
- parler d'avenir et ressasser le passé
- vouloir un homme fort (ou une dame de fer?) et le(la) dégommer sous prétexte qu'il (elle) bouscule...
- vouloir que tout change mais pas soi...
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